Fin de saison. Par Victor Bonaigua

Très bonnes zones !
Alors que nous sommes sur le point de terminer la saison, je vais essayer de faire une symbiose de l’analyse de la façon dont la mienne a été et d’autre part être capable de définir ce qu’est un trialiste et ce que je pense de la façon dont ils nous voient.
Pour ce faire, je vais d’abord décrire ce qu’est le trial, bien que puisque nous sommes sur un portail spécialisé, il ne sera pas nécessaire de le développer trop en détail, juste un bref coup de pinceau pour faire l’introduction de ce dont je veux vraiment parler, à propos des TRIALERS.
La définition du dictionnaire du terme « procès » pourrait être : un procès, un procès, un procès, un processus, une tentative, un procès, une affliction ou une adversité. C’est une spécialité de la moto dans laquelle ce qui compte est la capacité du pilote à surmonter les obstacles disséminés le long du parcours.
Bien que le correcteur essaie de changer plusieurs définitions de notre vocabulaire à chaque fois : trial, interzone, etc., à partir de maintenant je ne parlerai plus de coureurs, ni de parcours, ni d’obstacles, c’est-à-dire que c’est aussi simple que cela…
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Le trial est une spécialité motocycliste dans laquelle ce qui compte est la capacité du pilote à franchir avec le moins de pieds possible les zones éparses d’un itinéraire appelé interzone.
Plus d’une fois, j’ai eu à entendre (et probablement à juste titre) qu’en général, le trialiste est une personne singulière, autodidacte, méthodique, mais très modérée dans ses interprétations. Particulier à cause de la façon dont nous nous comportons : la façon dont nous nous habillons et parlons, l’« étrangeté » que nous dégageons, à quel point nous sommes rares, une « espèce » étrange, différente, spéciale, etc. Autodidacte parce que nous apprenons par nous-mêmes à travers la recherche individuelle d’informations et la pratique de l’épreuve. Méthodique parce que nous utilisons des procédures pour arriver à une fin.
Dans ce groupe, nous trouvons des professionnels de toutes sortes, mais avec quelque chose en commun : des personnes en bonne santé qui pratiquent un sport sain.
1.- À partir de là, je vais vous expliquer ce qu’a été ma saison d’essai.
2.- Si vous utilisez les mêmes questions, vous verrez que vous pouvez vous préparer à l’avance pour la prochaine saison.
3.- À partir du résultat des réponses, il sera clair quelle licence sera nécessaire pour pouvoir concourir.

À quels championnats est-ce que je veux participer ?

Dans le Championnat Open de Catalogne (Base +35) et dans la Coupe de Catalogne des Classiques.
Sur les six courses prévues dans le Championnat de Catalogne, il n’a participé qu’à une seule, la première. L’ambiance n’est pas à mon goût et bien que j’aie gagné, je ne me suis plus inscrit à aucune course.
Sur les sept courses prévues dans la Coupe Catalane des Classiques, il n’a participé qu’à cinq, mais a dû abandonner en raison d’une panne mécanique dans la première.

Quelles sont les épreuves que je ne veux pas manquer ?

Plusieurs, à la fois modernes et classiques : Cabrianes classic, All, Cabrianes version 2, Santigosa classic, Costa Brava, le social de Cent Peus, etc.

Dans quelles villes d’Espagne vais-je me rendre ?

Je ne voudrais pas manquer Robregordo, Maeztu et, si possible, Los Ángeles de San Rafael (LASR) que, finalement, j’ai refusé d’assister.
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Quels voyages vais-je faire à l’étranger ?

Cette année, il s’agit d’un peu plus que d’aller en Andorre pour participer aux 2 jours d’Arinsal.

Combien de fois vais-je m’entraîner ?

Autant que la famille et les épreuves me le permettent.

De quelle licence aurai-je besoin ?

S’ils ne changent pas le format, ce que j’espère qu’ils feront un jour car je ne peux pas imaginer une telle variété de formats si la spécialité et le sport sont les mêmes : TRIAL ! Il faudra l’approuver, qu’il soit régional ou social, tout dépendra de ce qui précède et de ce que nous voulons faire.

Bonaigua Déc5Dans mon cas :

Pour participer aux championnats régionaux, j’aurai besoin d’une licence catalane.
Pour participer aux championnats d’État, j’aurai besoin d’une licence approuvée.
Pour participer à des essais sociaux, j’aurai besoin de l’acceptabilité sociale.
Participer à des essais en dehors de ma région dépendra des accords qu’ils ont entre les fédérations, mais avec celui homologué, je n’ai pas à avoir de problème.
Pour participer à l’étranger, j’aurai besoin d’une licence approuvée (*) et probablement d’un permis de sortie.
(*) En 2014, les fédérations catalane et andorrane ont accepté de pouvoir participer avec la licence régionale catalane, sans avoir besoin d’une licence approuvée ou d’un permis de sortie.
Pour m’entraîner, je n’aurai pas besoin d’une licence à moins que je ne le fasse dans un domaine spécifique de l’essai, car alors le social sera nécessaire au moins.
David a fourni les moyens de canaliser tous les commentaires, mais si vous voulez le rendre plus personnalisé, vous me trouverez toujours à bonaigua@bonaigua-trial.com
Beaucoup de zéros !
Victor Martin
« Bonaiguá »

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